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Fin de weekend a l'Aéroclub... Le soleil est enfin là : c'est l'heure de sortir le Cap 10 pour un petit vol à travers les cumulus 🙂

Extrait de (presque) tout mon stage SIV à la Pobla de Segur en mai 2024 encadré par Marc Boyer. Après env. 140 heures de vol en 220 vols depuis que j'ai commencé le parapente en 2019 il est enfin temps de passer par le "célèbre" stage SIV ou Simulation d'Incident de Vol (en milieu aménagé = au dessus de l'eau). J'aurai certainement du le faire un peu plus tôt dans ma progression, mais ca se goupille pas toujours comment on veut. En tout cas j'ai trouvé cela très très utile et je vais certainement en refaire un l'an prochain, car clairement les sorties de 360 c'est pas ca... Y'a encore beaucoup à travailler / comprendre en vol. Mais c'est ce qui m'aura le plus impressionné : les sorties chandelles ! A la fin les atterros, car l'espace pour se poser n'est pas immense et sans vent c'était ... interressant 😉 Ma voile : Skywalk Arak Air Mon cocon : Bogdan Fly (v1) Mon secours : Gin yeti UL 00:00 Intro 00:05 Percé Relevé 00:10 Roulis à la selette 00:35 Wing Over 01:03 Percé Relevé 01:08 Fermetures frontale 01:38 Wing Over 02:09 Fermetures asymétrique 03:01 Descente rapide demi voile fermée 03:37 Essai d'autorotation 04:07 Percé Relevé 04:25 360 engagés sortie chandelle 05:39 Evitements 06:11 360 engagés sortie chandelle 06:49 Wing Over 07:44 Evitements 07:55 360 engégés sortie dissipée 10:03 Wing Over 10:27 Pumping 10:39 Vrille et recherche du vol arrière 11:14 360 engégés sortie dissipée 11:44 Evitements 11:54 Autorotation et secours 12:50 Les atterrissages 14:58 Ecran de fin

Vidéo d'un cross en parapente depuis Loudenvielle vers le Pic de Midi de Bigorre et retour plus à l'est vers le Pic de Céciré avec les meilleurs moments et quelques explications. Lien vers la trace du vol : https://syride.com/fr/pilotes/arogues/2529226

Vol de printemps dans le Louron et histoire de se décrasser un peu, montée à pied à l'un des décollages un peu plus haut que d'habitude, le Pic de Toudous et la montée est efficace : 1250m de déniv avalé en 2h45 avec 9 kg sur le dos ! Pas trop mal après autant de temps sans sport.Arrivé au décollage et les vautours sont déjà en vol et ça monte. Moi j'attends un peu, j'installe ma voile qu'il faut que je reconnecte à la sellette et la chase cam ... Vers 12h30 décollage dans un cycle et ça monte direct ! J'arrive rapidement à 2600m et je papillonne pas mal entre le Toudous et l'Estos car je n'arrive pas à monter au moins à son niveau pour lancer la transition. Mais cela est cohérent avec les analyses aérologiques que j'avais faites et un plafond de 2600m ce qui ne me rassurait pas sur le fait de lancer la transition de la vallée. Je n'ai pas envie d'aller sous le vent, côté sud, de l'Estos car je serai sous le vent de la brise et du vent météo, donc je reste côté au vent.Mais après 2 essais, j'arrive à monter à 3000m et donc je lance une transition ! Mais qu'est-ce que j'ai froid aux mains.Pas mal de vent de nord-ouest ce qui fait que les thermiques sont un peu couchés et qu'il faut gérer la dérive !Arrivé en face sur les flanc nord du Pichadère, même raison que pour l'Estos, je reste coté au vent et donc face nord-ouest. Une voile balise déjà la masse d'air, j'arrive juste au dessus et après quelques minutes de prospection je trouve un thermique qui me remonte à 2900m avec des moments +6 ou +7m/s affiché au Syride. Je n'attends pas et je lance une transition sur le Monségu et le couret d'Esquierry mais j'arrive un peu bas et je ne sais pas trop quel côté choisir, je vais côté Six Pics et j'arrive sans trop de difficultés à remonter à 3000m.Direction le nord maintenant, contre le vent. Pas mal de cumulus sur la route donc j'essaye de les passer au vent. Je pense prendre une fermeture frontale, je sens les commandes bien molles, j'enfonce les commandes et je ne vois pas la voile devant moi mais j'entends la voile claquer. Aucune altération de cap. J'ai donc pensé éviter la frontale mais cela m'a un peu calmé et je suis un peu moins incisif alors que la masse d'air est bien tonique. J'arrive au Pouy Louby au nord mais entre le froid aux mains et la masse d'air qui devient vraiment tonique (et peut-être la montée à pied), je mets le clignotant à gauche et rentre vers l'atterrissage. Je ne vais pas me planquer à la "pompe à couillon" du 700 qui doit être bien sous le vent de la brise et je pars sur les lacets de la route du col d'Azet. Quelques aller/retour puis je me remobilise pour un atterrissage avec 20/25 km/h de vent. Perte d'altitude au vent, la vent arrière est très rapide et on sera deux à l'atterrissage. Ca me déconcentre 2 secondes et j'étend un poil trop la vent arrière, arrivé en finale je tombe donc je remets un coup d'accélérateur et j'arrive en entrée d'atterrissage. Plus qu'à gérer l'affallage mais ca se passe niquel ! C'était mon premier vol de printemps en condition active ! Vivement le prochain 🙂 Désolé pour les couleurs de la GoPro du casque... Mauvais réglage, j'ai fait ce que j'ai pu (enfin ce que je sais...) au montage.

Morceaux choisis de la descente de la piste "Mirabelle" à Saint Lary. Ce jour la on devait faire plutot du hors piste mais la météo en a voulu autrement, donc on se rabat sur les pistes et comme la station est à moitiée fermée cause vent, il n'y a pas trop de monde... Le nom de la piste c'est le surnom d'Isabelle Mir, championne locale 🙂

Mon premier vrai week-end de Speed Riding ! Après contact avec Pierre Coste de Parapente Family qui m'explique le site, je me lance ! Heureusement également deux personnes expérimentés me montre sur place et m'aide pas mal pour mon 1er run. Run après run je m'améliore et commence à trouver les sensations vraiment super ! Vivement que j'en refasse ! La station est top ! Le personnel (perchman, pisteur, ...) SUPER SYMPA (de loin la meilleurs expérience depuis que je skis) et c'est donc une station "speed riding compatible" (et y'en a pas beaucoup). PS : les 3 premiers runs n'ont pas été filmés (pas de Go Pro sur le casque), une fois que j'ai vu que j'arrivais bien à lever l'aile au dessus de la tête, j'ai mis la Go Pro.

L'automne c'est l'idéal pour les vols rando ! La neige n'est pas encore trop la et l'activité thermique est faible. Ca laisse la possibilité de faire des vols rarement faisable au printemps ou en été, surtout si on ne veut pas partir tôt. C'est surement aussi le moment des plus belles couleurs que nous offre la nature. Ici c'est un vol au départ du village d'Ilhet dans la vallée d'Aure pour monter au pic de Montaut. Je ne suis pas seul puisque Cédric m'accompagne en VTT électrique. Il a pris le même chemin que moi à la montée et ca n'a pas été facile tout le temps... Je n'ai pas réussi à tenir en vol mais j'ai pu profiter de la descente et se poser presque "en centre-ville" c'est une première pour moi !

Vidéo d'un vol bivouac depuis Loudenvielle avec nuit à la Tusse de Montarqué au dessus du lac d'Ôo. C'est mon premier vol bivouac thermique, où je me déplace avant en parapente pour aller bivouacer dans une autre vallée. Je suis avec David, rencontré à l'atterrissage en début de journée qui a le même projet que moi. Vous savez tout pour regarder la suite en vidéo !

Nuit à la belle étoile après une montée au mont Ceint (ou également Pic de Girentès) depuis le Port de Lers en Ariège. Descente en volant sous la monosurface, j'étais vraiment léger à la montée !

Cela faisait maintenant quelques jours que c'était une évidence : beau temps, risque avalanche faible, pas de vent prévu et pas de lune prévue : la nuit au sommet en bivouac hivernal ca sera samedi 18 février 2023 ! Reste à trouver où ! J'avais pensé au sommet d'Espingo ou Nord Nère juste au sud de Loudenvielle. Mais la c'était 1800m de deniv avec un sac un peu lourd et surtout tout seul avec des informations assez parcellaire sur la possibilité réelle de décoller du sommet (la neige n'était pas top, d'où la descente en parapente). Mais grâce à Facebook, Damien me contact et on se met d'accord ! Bon j'ai fait pas mal de distance depuis Toulouse pour un simple WE mais ca valait le coup ! Déjà c'est la 1ere fois que je passe la brèche de Roland ! J'ai un peu diminué le deniv en pouvant emprunter les remontées mécaniques de Gavarnie - Gèdre et surtout c'est toujours plus sympa de partager ces moments et ne pas être seul en montagne. La montée fut un peu rude, surtout la fin ... Après un mois sans sport, un sac de (je pense) 10-11 kg et l'altitude qui se fait un peu sentir sur la fin, j'ai eu du mal après la brêche... Mais ca l'a fait ! Arrivée au sommet qu'on a que pour nous, installation du bivouac et on assiste au coucher de soleil. Le petit vent qui est la à la fin de la journée me fait vite rentrer dans mon sac de couchage : niquel j'ai chaud ! J'observe, mieux je rêve éveillé, devant les étoiles pendant au moins deux heures et ensuite dodo quasiment d'une seule traite jusqu'au petit matin où le lever de soleil n'est pas top car des nuages et le Mont Perdu nous cache le lever... Je range toutes mes affaires et c'est partit pour préparer la voile. Un peu de de stress car je n'ai pas volé depuis 2 mois, je n'ai jamais volé avec cette sellette (juste essayée sur un portique) et le déco sans être compliqué est vite raide. Mais tout se passe super grâce à l'aide de Damien qui vient m'aider à virer les suspentes sous les skis. Juste un petit tour de frein à droite car a cause de la pente je n'ai pas réussi à mettre les skis dans l'axe de pente. Le vol se passe a merveille. Seul ombre au tableau : la caméra suiveuse ne s'est pas bien mise... Elle filmera le sol tel un satellite... Le vol est magnifique, dès le décollage je tourne à gauche vers le col des Tentes (la trajectoire est réglementée car on est dans le Parc National des Pyrénées). Juste je m'autorise un petit 360 pour admisrer la face nord du Taillon et sa raideur (bravo à ceux qui la skie) et le glacier des Gabietous. Une fois le col passé je confirme ma zone d'atterrissage et en longeant les rochers au soleil je me prépare. J'avais presque oublié que face au vent mon parapente tombe plus qu'il n'avance (on ne peut pas avoir que des avantages avec les monosurfaces), mais la zone est tellement énorme que ce n'est pas un problème. J'ai bien du mal à me relever de ma sellette (mais les 10kg du sac y sont peut-être pour quelques chose, il va falloir éclaircir cela). Mais l'atterro en ski est vraiment très facile. Rangement du matos et discussion avec un pisteur qui a vu mon atterrissage et je rentre à la voiture ! Vivement une prochaine aventure comme cela !